Ne joue pas petit quand tu peux viser l’exceptionnel

Tu sais ce qui est triste ? Ce n’est pas l’échec. Ce n’est pas de tomber et de se ramasser la gueule en essayant de faire quelque chose de grand. Non, le plus triste, c’est de ne jamais essayer. De se contenter de peu alors que tu pourrais avoir tellement plus. C’est de regarder ta vie et de voir une version tiède de ce qu’elle pourrait être. Comme une pizza sans fromage. Comme une Ferrari qui roule à 30 km/h sur l’autoroute. Comme un feu d’artifice qui explose sans couleurs. Bordel, pourquoi se contenter de l’ordinaire quand l’exceptionnel est à portée de main ?

Pourquoi tu vises bas ?

Sérieusement. Pourquoi tu joues petit bras ? Parce qu’on t’a appris à être raisonnable ? Parce que t’as peur de l’échec ? Parce que les autres te regarderaient bizarrement si tu décidais, du jour au lendemain, de viser plus grand, plus fou, plus ambitieux ?

On va être clair : la seule personne qui souffre quand tu minimises tes ambitions, c’est toi. Pas ton patron. Pas ta famille. Pas tes potes. Toi, et toi seul. Chaque matin où tu te lèves en sachant que tu pourrais être ailleurs, faire autre chose, viser plus haut… c’est une gifle invisible que tu te mets à toi-même.

L’exceptionnel, ce n’est pas un mythe, c’est un choix

Oublie les contes de fées. L’exceptionnel, ça ne tombe pas du ciel. Ce n’est pas une question de chance, c’est une question de décision. Est-ce que tu veux vivre une vie où chaque jour ressemble au précédent, ou est-ce que tu veux une vie où tu te lèves avec le feu au ventre ?

Prends n’importe quel domaine : travail, sport, relations, projets persos. Qui est-ce qui réussit ? Ceux qui visent l’exceptionnel. Ceux qui osent. Ceux qui acceptent l’inconfort et le chaos temporaire pour accéder à quelque chose de grand.

L’exceptionnel dans le quotidien

Tu crois que viser haut, c’est juste pour les Elon Musk et les Cristiano Ronaldo ? Faux. L’exceptionnel, ça commence dans le quotidien. Ça commence par refuser de faire les choses à moitié. Par ne plus accepter la médiocrité dans ton boulot, dans ton couple, dans ton corps, dans ta vie.

  • Au boulot ? Arrête d’être ce mec qui fait le minimum syndical. Si tu bosses pour une entreprise, deviens indispensable. Si tu bosses pour toi, deviens une putain de référence.
  • Dans tes relations ? Entoure-toi de gens qui t’élèvent. Coupe les parasites, les jaloux, les toxiques. Tu n’as pas de temps à perdre avec des gens qui t’empêchent de grandir.
  • Dans ton corps ? Tu crois que t’as qu’une seule vie, mais en fait, t’as plusieurs versions de cette vie. Y’a celle où t’es en forme, confiant, prêt à bouffer le monde. Et y’a celle où t’es essoufflé après trois marches d’escalier.

Lance-toi. Maintenant.

La vérité, c’est qu’il n’y a jamais de bon moment pour viser l’exceptionnel. Si tu attends d’être prêt, d’avoir le bon timing, les bons contacts, la bonne météo… tu vas attendre toute ta vie. Le bon moment, c’est maintenant. Même si t’as peur. Même si t’es pas sûr. Surtout si t’as peur.

Alors pose-toi cette question : qu’est-ce que tu peux faire aujourd’hui pour arrêter de jouer petit et commencer à viser grand ? Une décision. Un engagement. Un premier pas.

Ne sois pas celui qui regarde les autres vivre l’exceptionnel en restant bloqué dans l’ordinaire. Sois celui qui ose. Sois celui qui y va.

Guido SAVERIO