Il était une fois dans une petite école, un élève passionné par la peinture du nom de Maxime. Maxime adorait s’exprimer à travers ses pinceaux et sa palette de couleurs, mais il n’était pas toujours satisfait de ses œuvres. Il avait cette vision idéalisée de la perfection, pensant que chaque coup de pinceau devait être impeccable.
Un jour, la professeure d’art, Madame Martin, remarqua le dilemme de Maxime. Elle décida de lui raconter une histoire pour lui faire comprendre que l’excellence ne signifie pas d’être parfait, mais plutôt de donner le meilleur de soi-même.
Madame Martin raconta l’histoire d’un célèbre sculpteur du nom de Lucas. Lucas était réputé pour ses sculptures magnifiques, mais il avait une particularité : il laissait toujours une petite imperfection intentionnelle dans chacune de ses créations.
Intrigué, Maxime demanda à Madame Martin pourquoi Lucas faisait cela. La professeure expliqua que Lucas croyait que la perfection absolue était impossible à atteindre, mais que chaque œuvre pouvait être rendue unique et exceptionnelle en y ajoutant une petite touche personnelle, une imperfection intentionnelle qui la distinguait.
Cette histoire inspira Maxime. Il comprit que rechercher la perfection pouvait être épuisant et démoralisant, mais en mettant son cœur et son âme dans chaque tableau, il pouvait créer quelque chose de véritablement exceptionnel. Dès lors, Maxime commença à embrasser ses petites erreurs artistiques et à les considérer comme des parties intégrantes de son style.
Ainsi, Maxime apprit que l’excellence ne réside pas dans l’absence d’erreurs, mais dans la passion, l’effort et la persévérance mis dans chaque tentative. Chaque tableau qu’il créait devenait une expression authentique de lui-même, et les petites imperfections ajoutaient une beauté unique à ses œuvres. Et Maxime réalisa finalement que donner le meilleur de soi-même était la véritable clé de l’excellence.
moralité
La morale de cette histoire est que l’excellence réside dans la volonté de donner le meilleur de soi-même plutôt que dans la quête obsessionnelle de la perfection. Les imperfections, loin d’être des obstacles, peuvent devenir des éléments distinctifs qui ajoutent de la valeur et de la beauté à ce que l’on crée. En embrassant ses erreurs, en apprenant de chaque tentative, et en mettant sa passion au service de ses efforts, on peut atteindre une forme d’excellence authentique et personnelle. L’idée est que la perfection absolue est souvent illusoire, mais l’engagement, la créativité et la détermination contribuent à créer quelque chose de véritablement exceptionnel.
Guido SAVERIO
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